

Les pressés ou marbrés sont une bonne alternative aux terrines, la dégustation est différente car on y emploie généralement de plus gros morceaux.

Comme c’est souvent le cas en cuisine il existe un vieux débat entre les appellations de vol-au-vent et bouchées à la reine.

Si le rouget est parfois surnommé bécasse des mers c’est probablement parce que depuis le gastronome Apicius il est vivement recommandé de cuisiner son foie.

Qu’elle soit rouennaise ou roannaise, la tourte de canard est un monument de la gastronomie française.

La bécasse est un oiseau noble et rare qui fut prisé de tous temps par les plus fins gourmets qu’ait compté l’occident.

On ne connait pas l’origine exacte de la chartreuse, néanmoins les timbales de gibiers au chou remontent généralement à la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe siècle quand Antonin Carême régnait en maître dans.

L’alouette des champs est un oiseau de roi, son fumet est exceptionnel et sa saveur unique.

Le salmis est une méthode de cuisson associée au petit gibier à plumes ou à poils.

Le pâté de bécassines d’Abbeville est l’une des béatitudes de l’existence.

La succulence sans pareille de la bécassine est appréciée des fins gourmets depuis l’Antiquité.

En Ombrie et dans les Marches, les Ducs d’Urbino se régalent de petits gibiers à plumes et de lentilles de la vallée de Castelluccio depuis le Moyen-Âge.

Lucien Tendret éminent gastronome du Bugey de la fin du XIXe siècle nous a gratifié d’un ouvrage d’une irrépressible gourmandise « La table au pays de Brillat-Savarin« .

Le pigeonneau de Mesquer est d’une qualité incroyable, il se prête aussi bien au rôtissage, qu’aux préparations en salmis ou aux terrines.

La blanquette est un mets incontournable de la gastronomie française dont l’origine est incertaine.

On trouve des petits pâtés dans toute la cuisine du Languedoc et de l’Hérault.

La côte de veau Pojarski nous vient de la cuisine impériale Russe du XIXe siècle, elle s’est depuis largement diffusée dans la cuisine française avant de tomber en désuétude.

1 kg de carottes 40 g de beurre 2 cuillères à soupe de graisse de canard.

Terrine de poulet en gelée au foie gras Voilà une belle terrine originale, à réaliser pour une entrée lors d’un repas de fête et même, en omettant le foie gras, pour un buffet estival tout en légèreté car cette terrine ne contient aucune graisse ajoutée.

1 kg de carottes 40 g de beurre 2 cuillères à soupe de graisse de canard.