Cuisine et gourmandises de France et d’ailleurs
Entre chaudrée et waterzooï, en l'honneur de la saint Patrick, je me suis amusée à improviser un genre de seafood chowder avec les légumes qui me tentaient.
La “Janssons frestelse” (traduit par “la tentation de Jansson”) est une spécialité suédoise traditionnelle pour le buffet de Noël (le “julebord”).
Le chou blanc sert de base à bien des salades d'hiver et, notamment, du coleslaw.
Le chou rouge (rødkål) aigre-doux, au Danemark, accompagne la viande de Noël, comme le rôti de porc au laurier ou l'oie rôtie aux pruneaux et aux pommes.
Si vous croisez un chou rave, attrapez-le ! Ce légume semble être tombé en désuétude et, pourtant, en carpaccio, Manon Fleury en a fait une délicieuse entrée.
Voici une version détournée du traditionnel irish stew à l'agneau, mais qui contient bien les pommes de terre indispensables aux Irlandais.
Trois de mes ingrédients favoris et, croyez-moi, ils se marient délicieusement dans ce plat qui fait, en général, l'unanimité.
Voici une salade improvisée avec ce que mes réserves contenaient : le chou rouge restait de mes pickles, j'avais des carottes et des pommes et il me semblait avoir déjà vu cette association.
Voici une nouvelle recette de saumon mariné au sel fumé par mon cousin franco-danois.
Quand vous ne savez pas comment accompagner une viande, pensez à tous ces légumes de triste mémoire pendant la dernière guerre mondiale, alors qu'il suffit désormais de les cuisiner avec goût, de les rendre fondants et parfumés.
On devrait toujours avoir des pickles chez soi pour rendre n'importe quel plat, assortiment de viandes ou de poissons froids, ou salade, un peu plus festif.
J'aime autant la texture du chou-fleur cuit que cru avec sa légère fadeur à laquelle s'ajoute la subtilité de la vanille.
Après avoir aimé le film “Délicieux”, je me suis mise en tête de reproduire, les fameux amuse-bouche préparés par Pierre Manceron, le héros du film : de jolies petites croûtes fourrées de lamelles de pommes de terre alternées avec des truffes.
Ce gaspacho, décliné par Yotam Ottolenghi (pour “The Guardian”, 12 septembre 2020), n'est que lointainement andalou.
On a davantage l'habitude des spaghettis alla puttanesca, mais mon placard avait des pappardelle et j'ai un faible pour les pâtes plates.
On a davantage l'habitude des spaghettis alla puttanesca, mais mon placard avait des pappardelle et j'ai un faible pour les pâtes plates.
Ce gaspacho, décliné par Yotam Ottolenghi (pour “The Guardian”, 12 septembre 2020), n'est que lointainement andalou.