Ces saucisses de sanglier font la part belle aux produits corses, elles se dégustent grillées avec du pain à la châtaigne ou une pulenta.
Nous devons le célèbre Oreiller de la Belle Aurore à l’illustre Brillat-Savarin.
Le lièvre à la royale est souvent décrit comme un monument de la gastronomie française.
Les pressés ou marbrés sont une bonne alternative aux terrines, la dégustation est différente car on y emploie généralement de plus gros morceaux.
Nous devons les petits pois au sieur Audiger qui les rapporta de Gênes.
Il n’est pas chose rare que de voir fleurir moult comparaisons entre fricassée de volaille aux écrevisses et célèbre poulet dit ‘à la Marengo‘.
On ne connait pas l’origine exacte de la chartreuse, néanmoins les timbales de gibiers au chou remontent généralement à la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe siècle quand Antonin Carême régnait en maître dans.
Les harestecks sont mentionnés par l’immense gastronome Lucien Tendret dans son ouvrage La table au pays de Brillat-Savarin.
Envelopper une farce à base de viande avec une feuille de vigne ou de chou serait une idée d’origine byzantine.