Faire bonne chère, pour pas cher et sans chair... animale. Recettes faciles, avec des produits de saison.
Encore une recette en provenance du magazine «Slowly veggie » de septembre/octobre 2018, avec encore quelques adaptations selon les fonds de placard et de frigo.
La recette initiale était un gratin de topinambours… cela faisait peut-être un peu trop pour nos petits estomacs fragiles.
J’ai mélangé ici une recette de poêlée de poireaux au curry (testée et approuvée) et une autre recette que j’avais oubliée, mais qu’inconsciemment, je devais avoir gardée dans un coin de ma tête encombrée : « Poireaux à la sauce Béchamel au chèvre ».
Pascal ne cultive pas encore ce tubercule, mais qui sait, peut-être qu’on en aura bientôt au potager grâce au réchauffement climatique ? Allez ! Tous en bagnoles, tous en avion, tous consommons ! Car je veux des patates douces au jardin.
L’idée de cette recette provient (encore !) du calendrier « Marmiton en 365 recettes végétariennes : Qu'est-ce qu'on mange ce soir ? ».
Dans sa version simple (juste l’aubergine roulée au fromage), c’est un plat que je me faisais volontiers du temps où je vivais toute seule comme une grande.
Quelles sont jolies ces pâtes en forme de coquillage ! La cuisson leur met un coup dans la tronche, c’est bien dommage, mais bon, ça doit pas être top de les bouffer crues.
Cette recette provient d’une marque de bocaux (voir le lien ici pour la recette).
Je pensais faire un classique risotto aux champignons avec une sauce au vin rouge servie à part, et finalement, j’ai fait d’une pierre deux coups en mélangeant une recette de risotto aux champignons avec une recette de risotto au vin rouge.
Petite variation autour de la recette de flammekueche végétarienne.
La recette de la sauce tomate provient encore du livre « Savoureuses recettes végétariennes ».
J’ai un peu bidouillé cette recette où je voulais associer les champignons et le vin rouge.
J’ai trouvé cette recette sur le site « Cuisine AZ », j’y ai apporté quelques modifs comme d’hab et j’ai improvisé une sauce pour qu’ils fassent trempette.
Je me pensais une fois de plus très originale en associant le chou-fleur aux champignons… mais bien sûr, les recettes foisonnent sur la toile.
A chaque début d’automne, je me transforme en Agent Orange de Monsanto et j’effeuille consciencieusement mes pieds de basilic.
Il me restait un peu de nouilles chinoises dans le placard.