
Bienvenue chez Les petits plats du Prince, dans mon petit monde de recettes de Grand-mère, de cuisine du monde, de trucs antigaspi et de conserves.

Je vais vous faire une confidence : c’est la toute première fois que je cuisine du sanglier.

Pour une recette festive de suprêmes de volaille qui impressionnera vos invités, essayez cette préparation délicieuse et élégante.

Il y a des Noëls où la maison résonne de rires, de grandes tablées, de plats qui mijotent pour douze.

À la campagne, Noël évoque souvent les grandes tablées, les parfums d’enfance et les traditions qui réchauffent le cœur.

Dans ma famille, le chou rouge cuit est un plat de cœur.

Dans le Gers, le magret de canard est bien plus qu’un mets : c’est une tradition, un hommage à notre terroir et à l’art de recevoir.

La dinde rôtie, farcie de marrons et dorée au four, reste l’image traditionnelle des réveillons.

Quand la pluie s’invite sur nos campagnes gersoises, j’aime préparer un plat mijoté qui réchauffe la maison et le cœur.

Lorsque les frimas s’installent et que les bougies illuminent nos tables, j’aime proposer des entrées qui réchauffent le cœur sans alourdir le porte-monnaie.

En cette fin d’année, alors que les vitrines scintillent et que les catalogues débordent de mets luxueux, il est bon de rappeler que la magie de Noël ne réside pas dans le prix des ingrédients, mais dans l’attention portée à ceux qui partagent notre.

Je l’avoue sans détour : je suis une incorrigible gourmande de marrons glacés.

En cette période de fêtes, j’aime surprendre mes convives avec des plats qui sortent des sentiers battus.

À l’approche des fêtes, j’aime remettre en lumière des recettes qui célèbrent notre terroir.

À l’heure de l’apéritif, j’aime surprendre mes invités avec des petites bouchées raffinées… mais toujours dans l’esprit antigaspi.

Les huîtres font partie de ces incontournables des fêtes de fin d’année, souvent servies simplement avec un trait de citron ou de vinaigre à l’échalote.

Lorsque je prépare mes menus de fêtes, j’aime revisiter les légumes d’hiver pour leur donner une place centrale.

Tout est parti d’une image croisée sur les réseaux : une recette de lapin à la moutarde illustrée par… des cuisses de poulet ! Un clin d’œil involontaire qui m’a fait sourire, et qui m’a donné envie de revisiter ce grand classique de la cuisine française.

Lorsque j’étais enfant, les pois cassés étaient la bête noire de ma maman… Elle n’aimait ni leur texture, ni leur saveur, du coup je n'an ai jamais mangé avant d'être adulte.

Quand le ciel se fait gris et que le froid s’installe, j’ai souvent envie de couleurs dans l’assiette.

Quand le ciel se couvre et que le vent siffle dans les haies de mon jardin, j’aime me réfugier dans la chaleur de ma cuisine.