Recettes et voyages culinaires d'une gourmande aventurière
J'aimerais commencer cet article en vous disant que dans la vie, il y a ceux qui aiment le fromage, et ceux qui aiment la charcuterie.
Avec mon pudding aux raisins secs et caramel et mon pain perdu aux fraises tagada, vous avez sans doute remarqué que je n'aime pas gaspiller le pain.
Si on devait établir un classement des aliments régressifs que je préfère, je suis sûre que les Knacki et le Kiri figureraient en bonne place! Personnellement j'avoue ne pas avoir franchement grandi et continuer à adorer ce genre de produits, même s'ils.
Je pense que la majorité d'entre vous devrait être interpellée par le joli nom de cette recette.
Vous commencez à me connaître, vous savez que je ne peux pas résister à une spécialité américaine, surtout quand elle semble totalement décadente et incongrue.
Dès le retour des beaux jours, on se laisse volontiers aller aux plaisirs de l'apéro, mais ce n'est pas pour autant qu'on en oublie nos principes diététiques.
Avec l'arrivée des beaux jours et des légumes printaniers, on a plus envie de légèreté et de simplicité avec des salades, des quiches ou encore des tartes salées gourmandes et colorées.
Quand il me prend dans ses bras, qu'il me parle tout bas, je vois la vie en rose.
J'ai déjà eu l'occasion de vous parler de mon amour pour le pays basque, et notamment Bayonne par ici.
Comme vous le savez certainement, je suis hantée par l'esprit de la street food! Je voue un véritable culte à la cuisine de rue, dans le bons sens du terme.
Ha, les bonnes fraises de printemps, qu'on dévore nature, avec de la chantilly ou, comme moi, roulées dans le sucre au point qu'on ne voie plus les fraises! Dès les premières barquettes sur les étals on a envie de jeter dessus, mais autant qu possible.
Aujourd'hui, je vous propose de réaliser un classique que tout le monde connait : le pesto! La version que je vous présente n'est cependant pas au basilic, comme c'est classiquement le cas, ni aux tomates séchées comme le pesto rosso, mais au persil!.
Quand arrivent les beaux jours, j'adore manger des bruschettas, ces fameuses tartines italiennes gourmandes, qui à elles seules font un repas avec une belle salade verte.
Après l'apéritif au chocolat, je continue mon repas de pâques avec une entrée aux œufs.
Si je ne mange que peu de viande ou même de charcuterie, il existe des exceptions qui me font immédiatement craquer pour un plat.
Le Maroilles, c'est "the" fromage qui pue par excellence, celui qui vous fait hésiter avant de recevoir des invités parce que toute votre maison pue des pieds, mais qui procure un véritable bonheur quand on l'engloutit, trempé dans le café façon "Bienvenue.
Vous l'avez peut-être déjà remarqué, la street food est une seconde nature chez moi.
En cette période de fin d'année, nous approchons des derniers examens avant de longues vacances, mais aussi des célèbres bals de promos américains.